Depuis le début de la matinée, les WhatsApp chauffent entre les passagers de l’avion Corsair à Orly et les responsables de Da Cantare en Guadeloupe. L’avion n’est pas parti, ils ont dû en changer et partiront avec trois heures de retard.
Nous nous réorganisons rapidement pour les accueillir.
Paule qui venait des Etats Unis, et Jean avec un autre vol, n’ont pas eu de retard. Une première vague se rend donc à l’aéroport pour les réceptionner. Jean est amené directement au Moule pour se reposer, avec les sœurs de Patrick Halley, Henriette et Aline. Paule gagne le logis qu’elle occupera pour deux nuits en attendant de pouvoir rejoindre les autres au Moule. Les échanges sont joyeux et agréables.
Mais le gros de la troupe arrive plus tard, accueilli par une belle représentation de Da Cantare, une bonne dizaine de choristes avec une pancarte VOX SIRENIS. Tout de suite les premiers sortent visiblement fatigués par la longueur du voyage. Mais tous sourient et sont heureux de reconnaître, qui Cathy, qui Brigitte, qui Ary etc… Les quatre choristes qui logeaient des parisiens deux nuits, repartent avec leurs touristes. Le car pour le reste du groupe est là. Et tout le monde pose ses bagages pour pouvoir enfin se dire : ON Y EST.